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vendredi 17 octobre 2008

Vicky Cristina Barcelona


Tous les ans, il y a les marrons chauds, Amélie Nothomb, le dernier Disney et souvent, aussi, le dernier Woody Allen. Depuis Hollywood ending, qui n'était certes pas son meilleur, je vais voir ses films au cinéma et rattrape mon retard en DVD. Cette année, un casting fou : Scarlett la belle, Pénélope la sublimissime, et Javier le beau gosse... Bref, rien que pour les yeux, il fallait aller voir !
Vicky et Cristina sont deux touristes américaines à Barcelone. L'une cherche quoi faire de sa vie, l'autre se gave de Gaudi (elle a raison, c'est assez chouette) et va se marier. Toutes deux rencontrent un charmant peintre, divorcé d'une sulfureuse épouse, qui les invite à passer le week end en sa compagnie... sans cacher son intérêt pour la beauté des demoiselles.
Une histoire d'amour, de choix et de regrets. De rêves et de réalité. Un film qui fait s'inquiéter mes compagnons de cinéma sur leur sexytude. Parce qu'ils se retrouvent dans le personnage ridiculisé mais attachant, Doug. Le garçon sympathique, sorti d'Harvard, qui coupe pas les cheveux en quatre mais souhaite une petite vie agréable, sans la passion destructrice du beau peintre... Les garçons, vous n'êtes pas comme ça. Et même si... vous resteriez les hommes de ma vie, na !

4 commentaires:

  1. Doug et Juan Antonio sont quand même deux extrêmes, entre le gentil bien sous tous rapports, et l'artiste à la liberté exubérante... la plupart des hommes se situe plus dans une moyenne, et heureusement ! ;-)
    - car après tout, nous ne sommes ni des Scarlett, ni des Pénélope, ni des Rebecca (là, j'émets un doute ?)... ;-)

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  2. Ahhh l'Amour est une chose bien compliqué, Woody Allen nous le prouve encore une fois.
    J'ai bien aimé le film et surtout j'ai un petit flaible pour la BO "Barcelona" de Giulia y los Tellarini !!

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  3. J'y vais demain... pour Penelope !

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  4. Hum, hélas chère Erzébeth, je crains que nous ne soyons assez proches de ces trois dames. Enfin, il parait...
    Fleur, je n'ai pas été très sensible à la BO.
    Ys, tu as bien raison, elle est magistrale !

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