Ce livre de Carl Almqvist provient du dernier dîner livres échanges. Sa jolie couverture ainsi que le nom de son auteur (suédois) m'ont intriguée.
La tante de Sara vient de rater le bateau. Seule à bord du navire, la jeune fille se fait vite un ami, Albert, jeune officier tombé amoureux au premier regard. Il apprend que la demoiselle travaille comme vitrière et rentre dans sa ville natale après avoir travaillé dans une région lointaine. Elle doit rejoindre sa maison où sa mère est gravement malade. Albert décide de l'accompagner un bout de chemin, sur mer, puis sur terre. Les deux jeunes gens apprennent à se connaître et à s'apprécier. Sara conte ses espérances : tenir une petite boutique, vendre un mastic très résistant et de sa composition aux autres vitriers. Albert doit contrôler l'état de certains domaines. Le voyage se déroule joyeusement et les discussions vont bon train. Albert découvre que Sara souhaite pourvoir elle-même à ses besoins et s'insurge contre le mariage malgré l'affection qu'elle porte au jeune homme.
Ce roman de 1839 fut, si j'en crois la préface, un petit brûlot féministe très moderne. Je veux bien le croire, les idées de l'héroïne sont trop en avance sur son temps pour plaire à tout le monde. Que dire de plus ? Le style ne m'a pas paru fou, certaines discussions ou descriptions en pâtissaient... ou alors c'est un problème de traduction. Une petite histoire agréable, un narrateur qui s'amuse de ses personnages, un ensemble peut-être un peu superficiel ?
La tante de Sara vient de rater le bateau. Seule à bord du navire, la jeune fille se fait vite un ami, Albert, jeune officier tombé amoureux au premier regard. Il apprend que la demoiselle travaille comme vitrière et rentre dans sa ville natale après avoir travaillé dans une région lointaine. Elle doit rejoindre sa maison où sa mère est gravement malade. Albert décide de l'accompagner un bout de chemin, sur mer, puis sur terre. Les deux jeunes gens apprennent à se connaître et à s'apprécier. Sara conte ses espérances : tenir une petite boutique, vendre un mastic très résistant et de sa composition aux autres vitriers. Albert doit contrôler l'état de certains domaines. Le voyage se déroule joyeusement et les discussions vont bon train. Albert découvre que Sara souhaite pourvoir elle-même à ses besoins et s'insurge contre le mariage malgré l'affection qu'elle porte au jeune homme.
Ce roman de 1839 fut, si j'en crois la préface, un petit brûlot féministe très moderne. Je veux bien le croire, les idées de l'héroïne sont trop en avance sur son temps pour plaire à tout le monde. Que dire de plus ? Le style ne m'a pas paru fou, certaines discussions ou descriptions en pâtissaient... ou alors c'est un problème de traduction. Une petite histoire agréable, un narrateur qui s'amuse de ses personnages, un ensemble peut-être un peu superficiel ?
Si c'est juste pas mal... je pense que je vais passer tout droit... je tente (et "tenter" est le mot-clé) de devenir plus sélective!!!
RépondreSupprimerMalgré ton avis mitigé, il me tente quand même, ce petit roman ! Et pourtant, je ne suis particulièrement féministe (juste pour l'égalité !)
RépondreSupprimer@ Joelle : c'est juste ça être féministe... ;o)
RépondreSupprimeret moi aussi ça me tente... Praline le rapportera sûrement lors d'un prochain dîner livres échanges, pas vrai ? ;o)