Je me suis plus longtemps attardée sur les débuts, sur les juxtapositions des couleurs, sur leur intensité. J'ai admiré les mouvements, les torsions, les liens entre les différentes parties des peintures. J'ai aimé la sauvagerie des animaux et des hommes, leur passion. Parfois, c'était trop. Trop de morts, trop de violence. Médée à l'état pur. Même sans couleur, dans la gravure, on retrouve cette effervescence. Et puis, on glisse vers autres chose au Maroc, en Orient. C'est plus doux, plus posé mais toujours contrasté, soleil de plomb et ombre des intérieurs. Un voyage !
dimanche 8 juillet 2018
Delacroix
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