Italo Calvino a su encore une fois me séduire avec ce recueil de nouvelles toutes orientées vers la naissance de l'univers.
La distance de la lune : une histoire de planète colonie qui renferme des richesses et attise les fantasmes.
Au point du jour : Un matin, tout durcit et se forme... Difficile d'y retrouver ses petits !
Un signe dans l'espace : création des mondes et des signes.
Tout en un point : Tous les personnages, aux noms proches d'éléments, vivent ensemble, puis tout bouillonne et s'espace.
Sans les couleurs : Création des couleurs, de la brillance, de la lumière. Une histoire d'amour perdu très poétique.
Jeux sans fin : Collectionner des atomes et des éléments pour créer des galaxies.
L'oncle aquatique : L'évolution laisse derrière elle quelques être fascinants restés à un état de développement lointain.
Combien parions nous ? Tout est bon pour parier, les formations les plus proches d'univers et les événements historiques les plus lointains.
Les dinosaures : Ont-ils vraiment tous disparu ?
La forme de l'espace : la course parallèle et infinie des trois personnages.
Les années-lumière : cache cache et jeux entre les galaxies.
La spirale : ou la création de la coquille.
Point commun de ces nouvelles, les êtres semblent en être éternels. Pas de mort, pas de fin mais des transformations, des mutations. On sait d'ailleurs rarement qui sont ces personnages même si on retrouve Qfwfq dans diverses nouvelles. Et le cœur du sujet est finalement l'univers dont la naissance et le développement sont interrogés et romancés. Si vous n'avez pas vraiment l'esprit ou les connaissances scientifiques, ce n'est pas grave car un prélude de quelques mots situe la question et l'histoire.
La distance de la lune : une histoire de planète colonie qui renferme des richesses et attise les fantasmes.
Au point du jour : Un matin, tout durcit et se forme... Difficile d'y retrouver ses petits !
Un signe dans l'espace : création des mondes et des signes.
Tout en un point : Tous les personnages, aux noms proches d'éléments, vivent ensemble, puis tout bouillonne et s'espace.
Sans les couleurs : Création des couleurs, de la brillance, de la lumière. Une histoire d'amour perdu très poétique.
Jeux sans fin : Collectionner des atomes et des éléments pour créer des galaxies.
L'oncle aquatique : L'évolution laisse derrière elle quelques être fascinants restés à un état de développement lointain.
Combien parions nous ? Tout est bon pour parier, les formations les plus proches d'univers et les événements historiques les plus lointains.
Les dinosaures : Ont-ils vraiment tous disparu ?
La forme de l'espace : la course parallèle et infinie des trois personnages.
Les années-lumière : cache cache et jeux entre les galaxies.
La spirale : ou la création de la coquille.
Point commun de ces nouvelles, les êtres semblent en être éternels. Pas de mort, pas de fin mais des transformations, des mutations. On sait d'ailleurs rarement qui sont ces personnages même si on retrouve Qfwfq dans diverses nouvelles. Et le cœur du sujet est finalement l'univers dont la naissance et le développement sont interrogés et romancés. Si vous n'avez pas vraiment l'esprit ou les connaissances scientifiques, ce n'est pas grave car un prélude de quelques mots situe la question et l'histoire.
Voilà une idée intéressante ... ce n'est pas tous les jours qu'on peut lire sur la naissance de l'univers :)
RépondreSupprimerOh, un excellent souvenir de lecture, qui remonte à loin ! Je me souviens avoir piqué un fou rire inextinguible sur une plage, à cause d'une certaine pancarte "Je t'ai vu !" Un super recueil, en effet, j'avais oublié qu'il était d'Italo Calvino.
RépondreSupprimerC'est vraiment un recueil extra, drôle et intelligent !
RépondreSupprimerUn livre à savourer lentement. Drôle, riche, ingénieux, il n'en finit pas de surprendre le lecteur, de l'emmener sur des chemins inattendus. Tiens, je vais le relire!
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