Premier billet de l'année qui me permet de vous souhaiter le meilleur pour 2017 !
Première rencontre avec Jeanne Benameur... et certainement pas la dernière. Merci Noukette d'avoir tant parlé de cette auteur et de m'avoir donné envie de découvrir ses œuvres.
Première rencontre avec Jeanne Benameur... et certainement pas la dernière. Merci Noukette d'avoir tant parlé de cette auteur et de m'avoir donné envie de découvrir ses œuvres.
Etienne est photographe de guerre. Il a été pris en otage et l'on vient de le libérer. "Je rentre", tout son être tient dans cette phrase. Etienne n'en sort pas. Pour ne pas être déçu. Car tout peut encore changer.
Avec sa libération, d'autres forces se mettent en branle. Irène, sa mère, qui va le recueillir. Enzo, son ami, qui se prépare à l'accompagner. Emma, l'amante, qui ne sait pas bien où est sa place. Jofranka, l'amie, qui fait témoigner les femmes à La Haye. De chacun d'entre eux, nous allons découvrir une part intime, secrète. Une vulnérabilité qui les rend uniques et humains. Mais c'est Etienne que l'on suit, la recherche de son humanité, sa recherche d'une place dans le monde... sa rage aussi. Comment réapprendre à vivre ? Comment se reconstruire ?
Malgré une écriture parfois rapide, condensée, aux phrases courtes, c'est un roman que j'ai lu lentement. Il fallait du temps avec Etienne, avec les différents personnages pour les accompagner dans leur quête de soi. Du temps pour saisir la petite musique du roman, jouée par nos héros. Un temps qui semble parfois un peu long, mais toujours trop court pour percer la part d'otage de chacun.
Jeanne... <3 Je t'envie de commencer cette histoire avec elle, tu as beaucoup d'autres pépites à découvrir !
RépondreSupprimerTrès belle année à toi Praline !
Merci ! Il y a en effet quelques autres titres sur les étagères familiales :)
SupprimerTrès belle année à toi aussi! Je n'ai lu qu'un Benameur... et je compte bien continuer!
RépondreSupprimerOn pourrait presque se faire une LC :)
SupprimerJ'avais préféré le personnage de la mère, dans ce roman.
RépondreSupprimerJe l'ai beaucoup aimée aussi.
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