Merci aux éditions J'ai Lu pour l'envoi de ce roman de Claudie Gallay.
Comme vous le savez, j'aimais le style de cet auteur. Certains le qualifient de simpliste, moi, je le trouve plutôt répétitif. Et j'avoue que je m'en lasse un peu.
Comme dans les Déferlantes, le cadre est normand. Mais le personnage principal est un homme.
Accompagné de sa petite famille, ses deux fillettes et sa femme, Anna, le narrateur part en vacances. Il rencontre Alice, une vieille dame du coin. Étrangement, il revient la voir. Régulièrement. Il l'aide, sort avec elle, ne lui parle pas beaucoup. Il s'intéresse autant à la femme âgée qu'à ses kachinas, statuettes ramenées d'Amérique. Et les récits s’intercalent : été pluvieux et voyage chez les Hopis avec Breton dans les années 40.
Deux histoires, des séparations, des meurtres, une passion commune pour des objets ethniques, voilà ce qui rapproche nos personnages.
Un roman plaisant qui se dirige vers des révélations morbides, attendues, malsaines, sur lesquelles il n'était pas indispensable de mettre des mots.
Petite déception, donc.
J'avais préféré mon voyage à Venise.
Je me rappelle n'avoir pas été sensible non plus à ce roman.
RépondreSupprimerca me rassure !
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