Le suicide. Triste question.
Rouart signe ici un court essai sur le sujet. Quelques écrivains y ont leur place comme Drieu la Rochelle ou Zweig. Mais l'originalité est d'y inclure des personnes comme Constant ou Napoléon qui n'ont pu mettre fin à leurs jours. L'idée est de retracer le cheminement du suicidaire, de comprendre ce qui l'a poussé à réaliser cet acte, de partager parfois ce désespoir qui prend forme de dernier cri, liberté ultime face au monde qui broie, au temps qui délite. Les fusillés, la jeune fille de la Seine et l'auteur lui-même sont de la partie. Difficulté de l'écriture, femmes infidèles, sursaut de courage devant l'inéluctable mort. Mais pas de suicide adolescent, stigmate d'un avenir brisé, d'une bêtise, d'un trop plein de passion.
Court essai qui oscille entre grands modèles, théorisation et autobiographie, agréable à lire mais peu informatif.
Rouart signe ici un court essai sur le sujet. Quelques écrivains y ont leur place comme Drieu la Rochelle ou Zweig. Mais l'originalité est d'y inclure des personnes comme Constant ou Napoléon qui n'ont pu mettre fin à leurs jours. L'idée est de retracer le cheminement du suicidaire, de comprendre ce qui l'a poussé à réaliser cet acte, de partager parfois ce désespoir qui prend forme de dernier cri, liberté ultime face au monde qui broie, au temps qui délite. Les fusillés, la jeune fille de la Seine et l'auteur lui-même sont de la partie. Difficulté de l'écriture, femmes infidèles, sursaut de courage devant l'inéluctable mort. Mais pas de suicide adolescent, stigmate d'un avenir brisé, d'une bêtise, d'un trop plein de passion.
Court essai qui oscille entre grands modèles, théorisation et autobiographie, agréable à lire mais peu informatif.
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