Avec ce titre d'Anne-Marie Garat, je replonge dans le goût de cet auteur pour la photographie.
De retour dans une maison de famille, la narratrice frissonne et peine à apprécier les lieux. Puis, elle se souvient d'une autre venue. Ce jour là, elle avait pris des photographies. Elle nous conte combien elle aimait les développer elle-même... Et combien ses prises furent décevantes.
A travers un texte très court, la narratrice s'interroge sur la mémoire et les réminiscences, sur l'atmosphère des lieux. Une lecture agréable, comme souvent avec cet auteur, sans être complètement dingue.
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