Pour la fête d'Alice, nous avons décidé d'offrir un peu de danse... un ballet pour être précise. Si elle a été enchantée par le spectacle, ce ne fut pas mon cas. J'ai trouvé que le corps de ballet était souvent décalé, que le public était distrait ( deux portables ont sonné, grrr !) et applaudissait à contre temps. Mais l'essentiel est qu'Alice ait aimé. Elle venait pour la première fois à l'opéra Bastille et était étonnée tant par les danseurs que par l'architecture du batiment. Ouf, un peu de joie et d'émerveillement, un regard interessé et des sourires quoique furtifs ont bien plus de prix que cette sortie.
L'intrigue du ballet est sympathique : Coppélius, amoureux d'une image féminine veut lui donner vie. Spalanzani, fabrique des automates mais ne parvient pas à reproduire cette figure aimée. Quand, curieuse, Swanilda pénètre dans son atelier, elle n'imagine pas qu'elle va être confondue avec une image de papier...
L'intrigue du ballet est sympathique : Coppélius, amoureux d'une image féminine veut lui donner vie. Spalanzani, fabrique des automates mais ne parvient pas à reproduire cette figure aimée. Quand, curieuse, Swanilda pénètre dans son atelier, elle n'imagine pas qu'elle va être confondue avec une image de papier...
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