dimanche 17 juin 2007

Nec


Picouly. Deuxième tentative. Deuxième échec. Je n'accroche pas. Sa manière d'écrire n'est pas un style. Et ce pollar est plutot une course poursuite, un panorama des XIXe et XXe arrondissements qu'un véritable policier.
Nec décide de venger la mort de Dulcie September, représentante d'un mouvement anti apartheid, plus d'un an après sa mort. Un premier essai s'était soldé sur une retraite mais désormais Nec sait que son action ne peut capoter : Ucello a peint l'histoire sur sa fresque du déluge à Santa Maria Novella. Chaque personnage représenté a une place dans l'existence de Nec. Il commence donc par tuer un membre hollandais de l'ambassade sud-africaine (horrible supplice du collier) et cherche à en publier des clichés. Il s'adresse à un ami journaliste dont les affaires ne sont pas très nettes et les dettes plus que criantes. Il rencontre Béa (pour Bifidus Actif), qui devient son grand amour. Et il vole de cafés en mariage, cherche à satisfaire tout le monde... mais la fresque d'Ucello fige les grands destins et nul ne réchappe au déluge... si ce n'est Noé.
L'idée d'utiliser Ucello pour illustrer ce roman ou de s'en inspirer pour l'écrire me paraissait géniale peut être parce que ce peintre est fascinant. Mais le résultat n'est pas à la hauteur de mes espérances.

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