Kawabata est toujours aussi bizarre ! La dernière lecture m'avait plus plu que Le Lac.
On est toujours dans un univers un peu étrange, auprès de personnages pas complètement sains. Ici Gimpei, un homme assez jeune (trente-quarante ans) a pour habitude de suivre les jeunes femmes. L'une d'elle, effrayée, lui a lancé son sac pour se débarrasser de l'importun. Il en profite donc pour voler la somme que contenait le sac et aller se faire masser... L'atmosphère des bains, propice à la rêverie le fait se souvenir de sa première amie, sa cousine, puis de son élève, Hisako, qu'il a suivi et qui est tombée amoureuse de lui.
C'est donc Gimpei que l'on accompagne dans ses poursuites et ses pensées, ses rituels et ses cachettes. La compagnie d'un voyeur n'est pas des plus agréables !
On est toujours dans un univers un peu étrange, auprès de personnages pas complètement sains. Ici Gimpei, un homme assez jeune (trente-quarante ans) a pour habitude de suivre les jeunes femmes. L'une d'elle, effrayée, lui a lancé son sac pour se débarrasser de l'importun. Il en profite donc pour voler la somme que contenait le sac et aller se faire masser... L'atmosphère des bains, propice à la rêverie le fait se souvenir de sa première amie, sa cousine, puis de son élève, Hisako, qu'il a suivi et qui est tombée amoureuse de lui.
C'est donc Gimpei que l'on accompagne dans ses poursuites et ses pensées, ses rituels et ses cachettes. La compagnie d'un voyeur n'est pas des plus agréables !
Oh tiens je ne connais pas ce livre et il me tente bien car j'adore la littérature asiatique!!!
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire ;)
Tout le plaisir est pour moi :)
RépondreSupprimerJe l'ai commencé l'an dernier mais je ne l'ai pas encore fini (et pourtant le texte est court) ; à croire que cela ne m'a pas totalement convaincue... ton article me donne envie de reprendre ma lecture afin de me faire enfin une opinion sur ce texte.
RépondreSupprimerOui, il est moins fluide que d'autres textes du même auteur.
RépondreSupprimerJe lis pour l'instant la correspondance Kawabata/Mishima. Êtres tourmentés mais d'une lucidité extrême (trop!)
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