Lolita Pille... Son nom ne m'était pas inconnu puisque Marie-Caroline m'avait recommandé fortement ce livre quand il etait sorti (ah, le bon vieux temps de l'hypokhâgne). Et puis très vite, il y a eu le film, la pub et l'effervescence autour du phénomène. Tous les petits Chals se sont inspirés du bouquin (avec leurs moyens) et se la jouèrent starlette. Donc j'ai attendu que tout cela retombe. Marinette, j'espère que tu mesures les limites à ne pas franchir !!
L'histoire tient en deux mots : Hell (Ella) est riche et profite des boites, restau, alcools et drogues à longueur de soirées. Un seul problème, elle fait parfois preuve de lucidité quant à la vacuité de sa vie. Andrea, son alter ego et amant, lui donne le goût des amours softs et vrais... mais leur milieu les rattrape et les replonge dans "l'enfer" des nuits parisiennes branchées, jusqu'au drame.
Un bouquin sans prétention et sans grand intérêt. Les soirées se suivent et se ressemblent. L'histoire d'amour est assez banale. Au moins, il se lit vite et fixe en peu de mots (je n'ai pas compté les occurrences de Gucci, Porsche, Coke et Vodka) les standards d'une caricaturale jeunesse dorée. Avec un mépris de bon ton.
L'histoire tient en deux mots : Hell (Ella) est riche et profite des boites, restau, alcools et drogues à longueur de soirées. Un seul problème, elle fait parfois preuve de lucidité quant à la vacuité de sa vie. Andrea, son alter ego et amant, lui donne le goût des amours softs et vrais... mais leur milieu les rattrape et les replonge dans "l'enfer" des nuits parisiennes branchées, jusqu'au drame.
Un bouquin sans prétention et sans grand intérêt. Les soirées se suivent et se ressemblent. L'histoire d'amour est assez banale. Au moins, il se lit vite et fixe en peu de mots (je n'ai pas compté les occurrences de Gucci, Porsche, Coke et Vodka) les standards d'une caricaturale jeunesse dorée. Avec un mépris de bon ton.
J'ai lu "Bubble Gum" le 2e roman de Lolita Pille. J'ai beaucoup aimé et "Hell" attend sagement la fin de mon challenge ABC. Si tu as trouvé Irving glauque, je me demande ce que tu penses de Pille... ;o)
RépondreSupprimerPille... oki c'est terrible mais ça m'est resté beaucoup plus extérieur qu'Irving, je me sentais spectatrice, ça me rappelait ces fins de soirée sur les Champs... et ça ne me faisait pas envie du tout. Je crois que ça m'a laissé un peu froide.
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