lundi 19 mars 2007

Lettres à l'absente


Ressemble beaucoup à Elle n'était pas d'ici. Solenn est anorexique. Elle vient d'être hospitalisée. Pour son père, c'est un soulagement mais aussi un énorme vide. P. P. D. A. écrit à sa fille, la dévoile et tente de la comprendre. Il parle aussi de sa famille, de l'angoisse, de la peur et du manque. Cette correspondance à sens unique est touchante, parfois génante ; le lecteur a-t-il le droit de découvrir cet amour, cette intimité entre un père et sa fille ?

L'espoir teinte encore cette oeuvre, Solenn peut guérir. Tandis que Elle n'était pas d'ici raconte ses ultimes batailles et son suicide. Lu l'an dernier, il m'avait beaucoup plus choqué, touché, remué que ce premier opus.

Il ne faudrait pas lire ce genre de choses quand on est si près du problème, un roman devient la réalité, il dit cette incompréhension, ces TOC et ces ras-le-bol... Vivement la Maison de Solenn !

6 commentaires:

  1. A toutes les Solenn,
    cette correspondance n’est pas à sens unique,
    toujours et en toutes circonstances garder foi et espoir en un avenir plus serein et radieux,
    les prières d’autrui ne consoleront jamais assez une famille en souffrance

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  2. ouverture de la boîte du bonheur:
    Salon du livre de Paris du 23 au 27 mars 2007

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. Elle y est ! ça y est, après des mois d'attente et d'angoisse, son poids qui baissait malgré tout, les limites qu'elle repoussait toujours et la mort qui la frôlait de son aile... L'espoir, que là bas, tout soit différent et qu'elle y guérisse.

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  5. Je viens de le lire et suis au milieu de "Elle n'était pas d'ici": d'ici demain je devrais pourvoir te dire mon avis...

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  6. OK, j'attends ta critique, Anne :)

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