Voilà une nouvelle de Zweig inspirée par la crise économique. Vous savez, 1929, l’inflation terrible qui pousse certainement l’Allemagne dans les bras d’Hitler selon nos manuels d’histoire. Bref, le contexte est difficile et noir. Et les antiquaires ont bien du mal à faire face.
Dans un train, le narrateur rencontre un antiquaire Berlinois qu’il connaît. Celui-ci lui conte la récente rencontre qu’il a fait. Procédé cher à Zweig, on commence à le savoir J
En quête d’œuvres à vendre et de collections à démanteler, notre antiquaire se plonge dans l’historique de ses ventes. Il y retrouve le nom d’un homme dont la collection de dessins et de gravure est tout à fait remarquable. Il décide de lui rendre visite.
Le vieil homme, désormais aveugle, reçoit avec joie et fierté son interlocuteur. Mais ça ne semble pas être le cas de sa famille. Je vous laisse découvrir pourquoi !
Petite nouvelle sur la monomanie, le collectionnisme aigu et l’amour de l’art, ce récit est une ode à l’amour familial.
Je ne connais pas du tout cette nouvelle... À découvrir, donc.
RépondreSupprimerOui mais peut être pas en priorité !
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