J'avoue que malgré ma bonne volonté, je n'ai pas réussi à accrocher à cet essai de Christiane Frémont. Merci beaucoup à Laure-Anne et aux éditions Dialogues pour cet envoi.
Chaque chapitre concerne une oeuvre ou un type d'oeuvre de Diderot. Hélas, les réflexions qui suivent ne m'ont pas apporté grand chose. Je retrouvais certaines préoccupations, certaines interrogations de mes lectures. Mais je n'ai pas trouvé leur mode d'expression très clair ou très intéressant.
Le dernier chapitre et le chapitre du milieu, qui se penchent sur la question du comédien et sur la fatalité, m'ont un peu réconciliée avec le texte car je les ai trouvés plus poussés. Mais le reste me laisse sur ma faim.
Pour ceux que ça peut intéresser, sachez que les différents modes d'écriture de Diderot sont invoqués : le conte bien sûr (s'il s'agit bien de conte), les essais (entre autre sur le Salon et la peinture), les romans...
Dommage pour cette rencontre manquée.
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