Quelques semaines sans lire - ou presque - je puis assurer que c'est très douloureux ; un contrôle de chaque instant... Mes livres de chevet ressemblaient plus à des monographies d'artistes, des Citadelles et Mazenod ou des catalogues d'expo qu'à des romans. Certains ont cependant égayé mes pauses. Parmi eux, un autre Orsenna (je ne m'en lasse pas !) conseillé par le kastor (sans rapport aucun avec Sartre ou Beauvoir d'ailleurs).
Grand amour n'est pas une histoire d'amour. Nous suivons un jeune chevalier amoureux de grammaire, (auto)biographe et conseiller de Monsieur le Président. Une lecture de circonstance, il faut le souligner. L'auteur nous conte l'Elysée et ses garden party, Versailles et la france vue d'hélicoptère. Il dit surtout comment il prète ses mots à la France, à celui qui l'incarne et doit s'en faire aimer. Ce livre est plein d'humour, de douceur, de personnalités attachantes. Je suis un peu jeune pour savoir s'il retranscrit le climat des années quatre-vingt, mais son portrait du président correspond assez bien au souvenir que j'en garde.
Grand amour n'est pas une histoire d'amour. Nous suivons un jeune chevalier amoureux de grammaire, (auto)biographe et conseiller de Monsieur le Président. Une lecture de circonstance, il faut le souligner. L'auteur nous conte l'Elysée et ses garden party, Versailles et la france vue d'hélicoptère. Il dit surtout comment il prète ses mots à la France, à celui qui l'incarne et doit s'en faire aimer. Ce livre est plein d'humour, de douceur, de personnalités attachantes. Je suis un peu jeune pour savoir s'il retranscrit le climat des années quatre-vingt, mais son portrait du président correspond assez bien au souvenir que j'en garde.
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