Toujours dans la veine XVIIIe, Jean-François Bastide raconte comment un libertin cherche à faire céder une femme assez peu chaste mais décidée à lui résister : Mélite. Il prend avec elle le pari qu'après une visite de sa maison, elle ne pourra qu'être vaincue. La dame se déclare prête à relever le défi.
Trémicour la mène dans son petit domaine. La dame s'extasie sur les extérieurs. Mais c'est à l'intérieur qu'elle commence à perdre de sa superbe. Chaque pièce est orné avec un goût très sûr (pour le XVIIIe, alors il faut aimer le rococo) par les plus grands artistes du temps. A mesure qu'elle passe de salon en boudoir, de jardin enchanté à chambre magnifique, Mélite se sent atteinte par tant de beautés. Et ce qui est amusant, c'est qu'elle succombe lentement mais sûrement au séducteur, ne pouvant que confondre le bon goût et le bon fond de Trémicour.
Cette plongée dans le XVIIIe n'a pas vraiment le cynisme des liaisons dangereuses et me donne envie de les relire.
Trémicour la mène dans son petit domaine. La dame s'extasie sur les extérieurs. Mais c'est à l'intérieur qu'elle commence à perdre de sa superbe. Chaque pièce est orné avec un goût très sûr (pour le XVIIIe, alors il faut aimer le rococo) par les plus grands artistes du temps. A mesure qu'elle passe de salon en boudoir, de jardin enchanté à chambre magnifique, Mélite se sent atteinte par tant de beautés. Et ce qui est amusant, c'est qu'elle succombe lentement mais sûrement au séducteur, ne pouvant que confondre le bon goût et le bon fond de Trémicour.
Cette plongée dans le XVIIIe n'a pas vraiment le cynisme des liaisons dangereuses et me donne envie de les relire.
Ah, les Liaisons... je l'ai lu et relu et rerelu... toujours aussi génial !
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