dimanche 14 décembre 2008

Legend in green velvet


Décidément, je préfère la série des Ramsès et Peabody chez Peters.

Ici, elle campe une jeune archéologue américaine, Susan, charmante et intelligente mais incroyablement romantique. Amoureuse de l'Ecosse depuis son plus jeune âge, elle en connaît l'histoire sur le bout des doigts et rêve de rencontrer son Bonnie prince Charles (Charles Edouard Stuart, qui n'est pas si beau qu'elle veut nous le faire croire) et fantasme sur les amants de Marie Stuart... soit ! Elle trépigne donc de joie lorsqu'elle apprend qu'elle va fouiller aux cotés de Campbell, archéologue de renom dans le domaine de l'histoire picte. Hélas, un vieux fou, Tamma, lui remet un couplet en vers et est retrouvé mort peu après. La voilà bien malgré elle soupçonnée du crime et entraînée dans un grand cache-cache entre Edimbourg et les châteaux écossais, accompagnée d'un charmant garçon, James. Forcément, quand j'ai découvert à quoi ressemblait le Bonnie prince, j'ai un peu revu mon jugement sur James que je trouvais terriblement craquant avec son kilt. Hé oui mesdames, il y a de l'écossais dans ce livre, à n'en pas douter (et donc de l'anglais bizarre mais ça n'handicape nullement la lecture) ! Des kilts et des trésors pour celles qui hésitent encore ! Et de l'histoire revue et romancée par l'anecdote et le cliché parfois...

Ce que je reproche à ce livre ? Il ressemble parfois plus à une course poursuite qu'à une véritable enquête et les solutions sortent parfois du chapeau de l'auteur sans que la logique s'en mêle...

3 commentaires:

  1. Malgré que tu sois mitigée... les écossais en kilt, on dirait que ca m'attire depuis Jamie! C'est grave, docteur?

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  2. Ce serait tentant, avec tous ces kilts mais bon, tu n'as pas l'air d'avoir vraiment apprécié malgré ça ... alors, j'ai des doutes ! mdr !

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  3. Les kilts sont vraiment le point fort du roman. Quant au reste, bof bof.

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