Thème d'un récent club des théières : les créatures de la nuit. J'ai récupéré deux livres à cette occasion, dont celui de Matheson. Contrairement à sa propriétaire, j'ai apprécié cette lecture.
Robert est le dernier survivant de l'espèce humaine telle qu'on la connaît car un mystérieux virus a transformé la population en une horde de vampires assoiffés de sang. Le jour, il tache de se protéger et de survivre en se procurant les dernières ressources des supermarchés. Il tue à l'occasion des vampires endormis et inoffensifs. La nuit, les vampires s'assemblent autour de sa maison et tentent de pénétrer, mis en appétit par sa bonne mine ! Parmi eux, des proches comme des inconnus. Robert aimerait pouvoir les soigner, se documente, expérimente. Mais cette rationalisation du problème se heurte aux affreux souvenirs du narrateur, aux crises d'alcoolisme ou de violence dont il ne peut se défaire. Heureusement, il semble que toute l'humanité ne soit pas atteinte...
Robert est le dernier survivant de l'espèce humaine telle qu'on la connaît car un mystérieux virus a transformé la population en une horde de vampires assoiffés de sang. Le jour, il tache de se protéger et de survivre en se procurant les dernières ressources des supermarchés. Il tue à l'occasion des vampires endormis et inoffensifs. La nuit, les vampires s'assemblent autour de sa maison et tentent de pénétrer, mis en appétit par sa bonne mine ! Parmi eux, des proches comme des inconnus. Robert aimerait pouvoir les soigner, se documente, expérimente. Mais cette rationalisation du problème se heurte aux affreux souvenirs du narrateur, aux crises d'alcoolisme ou de violence dont il ne peut se défaire. Heureusement, il semble que toute l'humanité ne soit pas atteinte...