samedi 4 juin 2011

Mes ailes brûlées

Merci à Babelio pour ce livre reçu lors de la dernière opération masse critique. 

Bon, je dois vous avouer que je comprends mal pourquoi j'ai fait ce choix. Certainement le coté Disney. Mais Douchka, ça ne me disait rien. Et pour cause, je ne devais pas être née lors de son premier tube : "Mickey, Donald et moi". En voyant qu'il s'agissait d'un présentatrice de Disney, j'ai cru qu'il s'agissait de la jeune Anne qui chantait La petite sirène. Qu'est-elle devenue ? Mystère.


Bon, revenons en à Douchka, l'auteur de cette autobiographie...
Je dois avouer que ce livre ne m'a vraiment pas plu. Cette autobiographie ne commençait pourtant pas si mal. Si le style est pénible tout au long de la lecture, le ton était assez dynamique. Mais le style parlé, c'est un peu lassant. 
La petite fille semblait pleine d'entrain, charmante. Mais peut être pas assez cadrée. Parents stars et séparés, pas évident pour la demoiselle de trouver des repères. Quelques années animatrice Disney, la belle s'enfuit pour rejoindre son amoureux (et futur mari). Elle aura trois enfants. Et plongera dans une noire misère. Et se droguera. Et suivra des courants spirituels un peu louches... Et craquera toujours pour des mecs un peu louches.

Bref, c'est une descente aux enfers, plus ou moins maîtrisée. C'est l'envers du décor de la starisation très jeune. C'est surtout fatiguant de leçons de morale et d'effets d'annonce. 
Décevant. Dommage. Heureusement que la couverture rose est jolie.

6 commentaires:

  1. Je me rappelle de cette frimousse...Bonne journée, à bientôt !

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  2. Je suis une vieille, j'étais fan de Douchka quand j'étais petite. Mais bon, ça m'a passé, donc lire son autobiographie, non...

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  3. Fan mais pas trop en fait ;), non ?

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  4. Heureusement aussi qu'elle a su rester jolie.

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  5. Oui, c'est un peu ce qui la sauve.

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  6. DROIT DE REPONSE A UNE USURPATRICE

    LETTRE OUVERTE À BOJIDARKA ESPOSITO DITE « DOUCHKA »

    Si DOUCHKA m’était contée… ce serait l’histoire d’une imposture honteuse.

    J’ai été purement et simplement évincée, sans explication, d’un contrat, signé voici 30 ans avec la Société DISQUES IBACH, pour une durée de 10 ans et portant sur des chansons pour enfants, la Walt Disney Cie ayant donné son approbation.

    Il se trouve que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions alors exercées par la mère de Douchka auprès de son amant pour mettre sa fille à ma place ont eu raison de mon contrat -Douchka a fini par prendre ma place- et de toute ma vie artistique, brisée en éclats alors qu’elle s’annonçait brillante.

    La parution, en Avril 2011 du « livre » de Douchka, qui me cite nominalement et sans autorisation, a ravivé la douleur dont j’ai mis des décennies à me débarrasser. Outre que cet ouvrage est truffé d’inexactitudes, pour ne pas dire plus, il me semble que les plaintes, doléances et les malheurs de cette pauvre dame, une « usurpatrice » caractérisée, ne sont que la conséquence d’une suite ininterrompue d’erreurs et d’échecs de sa part.

    Cette manipulation honteuse m’a causé un préjudice moral irréparable, j’avais à peine 16 ans. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable : déception, désillusion, amertume, sentiment de trahison, c’est lourd pour la jeune fille que j’étais, pleine de rêves et d’espoirs dans ce contrat. C’est Mémé Ibach qui est venu me chercher à Lyon pour me proposer ce contrat. Mes parents et moi avons été terrassés par ce revirement sans raison valable.


    Vous comprendrez de ce fait que je m’inscrive en faux contre les allégations pleureuses et mensongères d’une « chanteuse » au talent plus que douteux (la suite l’a confirmé). Douchka se positionne en victime (car cela fait vendre) mais elle a pris une place qui ne lui revenait pas et qu’elle n’a pas méritée. Sa descente aux enfers et sa déchéance artistique, dont son « livre » est le triste et navrant récit, montrent qu’elle n’a même pas su profiter, par ses mauvais choix et mauvaises décisions, de la chance insolente qu’elle a eue. Je n’ai pas l’intention de laisser passer cette offense supplémentaire et j’aimerais que l’on puisse m’entendre, à mon tour, de façon contradictoire, comme témoin « privilégié ».
    Françoise Gabrielle GAUME/gab57@free.fr

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