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jeudi 23 juin 2022

Le retour d'Hercule Poirot

Sir Reuben est mort, son neveu est accusé, l'affaire semble classée. Pourtant, Lady Astwell, l'épouse de Sir Reuben, envoie chercher Hercule Poirot, persuadée qu'Owen Trefusis est le coupable. Ce secrétaire irréprochable n'a pourtant pas l'air coupable. Toute la maisonnée va donc accueillir le détective belge le temps de résoudre l'affaire.

Retrouvée dans son bureau, la victime a forcément été tuée par l'une des personnes de la maison. C'est une course contre les nerfs des uns et des autres qui commence.

Un whodunit agréable, par cette chère Agatha Christie !




lundi 6 juin 2022

Le major parlait trop

Un petit Agatha Christie qui met en scène la délicieuse Miss Marple aux Antilles !

Assommée par un major qui lui raconte ses faits de guerre, ses histoires et lui dévoile même connaitre un meurtrier, Miss Marple regrette son cottage anglais et ses voisins à espionner. Le major meurt brutalement, est-ce un accident ? Comme moi, vous imaginez bien que non. Qui est le coupable ? Y aura-t-il d'autres meurtres ? Je vous laisse lire le polar pour le découvrir.

Les ficelles habituelles de la romancière, avec un décor qui change mais qui ne sert pas à grand chose. Entre l'hôtel sur la plage ou les maisons british, les habitants vivent les mêmes drames. 


jeudi 24 juin 2021

Les sept cadrans

Et voici le petit Agatha Christie traditionnel du mois anglais. Cela risque d'être ma seule participation cette année car je n'ai pas noté beaucoup de romans anglais ces derniers temps.

Lors d'une sauterie, le jeune Wade est retrouvé mort dans son lit. Ce gros dormeur, à qui les autres invités avaient fait la surprise de mettre des réveils dans sa chambre, n'entend pas le boucan des 8 sonneries. La cause de sa mort semble accidentelle, cependant, certains soupçons s'éveillent. Surtout lorsqu'un autre invité meurt également le lendemain. La vive Eileen Brent, qui a manqué d'écraser le pauvre homme, se lance dans l'affaire, à la poursuite d'un club criminel des 7 cadrans. Elle entreprend d'embarquer la sœur de Wade, Loraine et Jimmy, un des autres invités dans la compréhension de cette affaire à laquelle se mêlent des plans à ne pas se faire dérober et des questions politiques. 

Hélas, si le roman se veut plein de rebondissements, la fin et le dénouement sont précipités. C'est en effet le surintendant Battle, de Scotland Yard, qui suivait l'affaire de loin, qui nous en livre tous les éléments au chapitre final.





mercredi 3 juin 2020

Les pendules - Christmas Pudding - Le policeman vous dit l'heure

Trois Agatha pour le prix d'une ! Je suis allée piocher dans une partie d'intégrale pour sortir ces trois titres. Et je me suis plutôt régalée de ces trois affaires, malgré leurs longueurs très diverses - du roman à la nouvelle.

Les pendules. C'est le titre le plus épais des trois avec une histoire d'Hercule Poirot. Il n'y apparaît cependant très peu et l'on s'attache plutôt aux pas de Colin Lamb et de l'inspecteur Hardcastle. Un homme est retrouvé assassiné chez Mrs Pebmarsh par Miss Sheila Webb, une sténographe qui a été appelée pour une mission. Or, celle-ci n'a jamais été appelée par Mrs Pebmarsh. Dans la foulée, une jeune collègue est assassinée dans la même rue. Cela fait beaucoup pour une rue d'ordinaire bien calme. C'est aussi là que Colin espère débusquer un espion. En faisant le tour des voisins, on ne découvre pas grand chose et notre mort n'est toujours pas identifié. Sans sortir de son fauteuil, Poirot va résoudre l'affaire. 

On le retrouve ensuite dans Christmas Pudding à tenter de retrouver un rubis dérobé, qui pourrait mettre en péril la réputation d'un jeune prince. Il n'hésite pas à se mettre en jeu pour cela. Pas vraiment d’énigme dans cette nouvelle mais plutôt une façon de raconter l'histoire en nous coupant des éléments déjà connus du détective mais pas du lecteur. Jusqu'au moment où il les explique à ses hôtes.

Le policeman vous dit l'heure. Une courte histoire de Miss Marple. Dans une horrible bicoque, une vieille dame vient de signer un testament pour sa dame de charge devant deux témoins. Quelques jours plus tard, elle est assassinée. Une histoire louche d'héritage bien sûr ! Heureusement, les connaissances et compétences botaniques et humaines de Miss Marple sont toujours fort utiles !

J'ai largement préféré le roman, plus abouti, plus complexe aussi, aux formes courtes. On a plus le temps de s'interroger, d'apprécier les personnages, de tenter des hypothèses.



lundi 17 juin 2019

Nemesis

Le mois anglais est souvent l'occasion pour moi de lire ou relire un Agatha Christie en VO, avec plus ou moins de chance dans la pioche. Avec ce titre, c'était plutôt bingo ! Sans surprise, Miss Marple est aux commandes.

Mr Rafiel, un riche financier, est décédé, annonce le journal de Miss Marple. Elle se souvient de l'avoir croisé des années auparavant autour d'un meurtre. La nouvelle pouvait rester sans suite et Miss Marple continuer à tricoter. Mais une invitation et un courrier du défunt l'invitent à mener l'enquête et à exercer une vengeance - d'où le Némésis du titre. Sauf que les infos sont extrêmement maigres jusqu'à ce que la vieille dame soit invitée à un délicieux tour des jardins et maisons anglaises. So charming ! Mais la campagne n'est pas si paisible qu'elle parait l'être. Entre trois sœurs qui rappellent les sorcières de Macbeth, deux femmes un peu louches qui semblent suivre Miss Marple et une touriste blessée, il y a fort à faire. Et toujours pas de commande claire de la part du défunt. 

Une enquête sympathique avec une Miss Marple très âgée, qui radote un peu, mais ne perd pas le nord pour autant. La fin est un peu longuette, c'est un policier où l'on entrevoit la vérité avant la vieille dame - ce qui est plutôt rare - mais l'ambiance de mystère avec cette commande post mortem est plutôt réussie. 

samedi 30 juin 2018

Sleeping murder

C'est le billet de Lou qui m'a donné envie de lire (ou relire) cet Agatha Christie. J'ai un peu perdu le compte de ceux que j'ai lus ado...

Gwenda débarque en Angleterre pour s'y installer avec son époux. Il la rejoindra ultérieurement depuis la Nouvelle-Zélande. La jeune femme est chargée de trouver un foyer et jette son dévolu sur une jolie villa sur la côte, dans une zone de villégiature. Mais cette maison semble receler des secrets, à mois que Gwenda ne perde la tête. Pourquoi cette impression que la maison est hantée, d'une porte ou d'un papier peint qui n'existent pas ? Ou plus ? 
Et un instant de panique à Londres pendant une pièce de théâtre et la vision d'une femme étranglée vient conforter Gwenda dans son idée : elle devient folle. 

C'est une certaine Mrs Marple qui parvient à l'apaiser et à rationaliser. Peut-être Gwenda connait-elle déjà la maison ? Et c'est là que l'enquête commence, malgré les mises en garde de Mrs Marple. Qui est cette femme étranglée ? Qui l'a tuée ? 

Mais réveiller le passé peut réveiller l'assassin... 

Une enquête assez sympathique avec ce rapport à la mémoire de Gwenda enfant, les questions aux amis d'Hélène (la jeune femme assassinée) et les jolies déductions de Mrs Marple. C'est un bon whodunit. Par contre, quel machisme ! Toutes les petites allusions à la faiblesse des femmes, physique, intellectuelle ou morale m'ont agacée au plus haut point. 

mercredi 28 juin 2017

Towards zero

Un mois anglais sans Agatha, est-ce possible ? Et contrairement à l'an dernier, j'ai pioché un bon cru, en tous cas, à mes yeux. 

La construction y est pour quelque chose avec une mise en place peut être plus complexe que d'habitude, à la fois autour d'un Mr MacWhirter, qu'on ne retrouve qu'au dénouement, ce qui rend le procédé un peu mal amené, de Battle, de Scotland Yard, qui a quelques problèmes familiaux, de l'assassin qui tend ses filets, etc.

Puis l'on rentre dans le vif du sujet avec Neville et Kay Strange. Ceux-ci prévoient de passer quelques jours dans une maison de famille où Neville a grandi, auprès de Lady Tressilian. Mais à la période où Audrey Strange, première épouse de Neville, a l'habitude de venir. Cela crée vite une ambiance invivable entre allusions et jalousies. Neville veut-il rester avec Kay ou revenir auprès d'Audrey ? Tout le monde se le demande... et a son avis sur la question. Mais avant la fin du séjour, les choses prennent un tour plus dramatique qu'un simple triangle amoureux. Lady Tressilian est retrouvée morte, le crane fracturé. Personne n'est entré ou sorti. Qui est le coupable ? La gentille dame de compagnie, le pupille, l'ami, l'épouse ou l'ex ?

Battle est sur le coup avec d'autres agents. Poirot n'est pas là même s'il est évoqué... Et heureusement, MacWhirter réapparait. 

Un bon petit Agatha Christie, avec une théorie intéressante, portée par le titre et l'avocat de Mrs Tressilian : le crime n'est que l'aboutissement, le zéro... mais il y a toute une pelote à remonter pour le comprendre. 



mercredi 30 novembre 2016

Elephants can remember

C'est une année pleine de contrastes quant à mes lectures d'Agatha Christie.
Avec ce titre, bonne pioche. Un Agatha très sympa avec un Hercule Poirot secondée par une Mrs Oliver très proche de notre auteur, écrivain à succès de polars mais pas encore détective.

Quand elle est abordée par Mrs Burton-Cox lors d'un déjeuner d'écrivains, Mrs Oliver a deux options : ignorer la demande ou mener une enquête. Car l'interpellation est particulière et demande de remonter dans le temps, lors du double suicide de Lord et Lady Ravenscroft. Mais est-ce elle ou lui qui a tiré ? Notre romancière décide de reprendre l'affaire et de débusquer des "éléphants", comprendre des personnes qui se souviennent de l'affaire et ont des indices à partager. On commence avec la fille des Ravenscroft, Célia, concernée au premier chef, puisque future brue de Mrs. Burton-Cox et filleule de la romancière. Aidée d'Hercule Poirot, Mrs. Oliver mène les interrogatoires. Quant au détective, il fait des listes et découvre la vérité... Un peu après le lecteur ! Mais ça n'en reste pas moins un bon cru.

"Curiosity. I don't know who invented curiosity. It is said to be usually associated with the cat. Curiosity killed the cat. But I should say really that the Greeks were the inventors of curiosity. They wanted to know. Before them, as far as I can see, nobody wanted to know much. They just wanted to know what the rules of the country they were living in were, and how they could avoid having their heads cut off or being impaled on spikes or something disagreeable happening to them."


vendredi 9 septembre 2016

Sad Cypress

Je continue d'écluser mes Agatha Christie et celui-ci m'a plutôt bien plu. 

Elinor Carlisle vient de recevoir une lettre anonyme et attend la visite de son cousin. Roderick Welman, dont elle est amoureuse depuis son enfance, lui propose de se fiancer alors que leur tante est mourante. Ils imaginent que tous deux vont hériter de sa fortune, et comme ils s'entendent plutôt bien, pourquoi ne pas vivre ensemble ? La dégradation de l'état de santé de Laura Welman les pousse à rejoindre le manoir de Hunterbury où leur tante décède dans la nuit. Le souci ? Elle n'a pas fait de testament. 

Elinor, sa plus proche parente, hérite de tout. Cela marque la rupture des deux cousins, Roderick ne souhaitant pas passer pour un profiteur. Il y a aussi la jolie Mary Gerrard qui lui a tapé dans l’œil... Mary est la jeune voisine de Laura Welman et lui très chère. Cette même Mary est retrouvée empoisonnée quelques temps plus tard, alors qu'elle pique-nique avec une des infirmières de feue Laura et Elinor. Bien entendu, Elinor est accusée du meurtre. Le motif ? La jalousie.

Mais le Dr. Lord n'est pas convaincu de sa culpabilité. Il fait donc appel à Hercule Poirot pour mener une contre enquête. 

Divisé en trois parties, ce roman est presque une pièce de théâtre. Le dénouement est intéressant, assez inattendu. Quant aux personnages, je les ai trouvé assez peu fouillés, peut-être parce que le roman reste très court. 



mardi 28 juin 2016

Spider's web

Enfin ! Un Agatha Christie qui m'a bien plu ! Juste pour la LC du mois anglais. Enfin, je crois qu'à la base c'est une pièce de théâtre qui a été réécrite comme roman... 

Clarissa Hailsham-Brown est une farceuse. Elle ne cesse de conter des histoires et de faire tourner bourriques ses proches. Il y en a certains que ça amuse, et d'autres beaucoup moins. Genre les amoureux, comme Jeremy.

Tout commence comme une soirée lambda. Henry, l'époux de Clarissa, se voit confier comme mission d'accueillir le Premier ministre britannique et son équivalent russe pour une rencontre secrète dans leur maison de campagne. Clarissa prépare les sandwich pendant qu'Henry se rend à l'aéroport local. Mais au retour de Clarissa dans son salon, un cadavre s'est invité. Elle appelle immédiatement trois de ses amis pour prendre conseil et faire disparaître le mort. Qui n'est autre que le nouveau mari de l'ex-femme d'Henry.

Cette enquête est assez chouette parce que Clarissa ne manque pas d'idées pour éviter que la police ne fasse des siennes, son imagination est au top. Pas assez cependant pour repérer le coupable !


mardi 21 juin 2016

A mysterious affair at Styles

Échaudée par le premier Agatha Christie de mon mois, j'ai quand même retenté l'expérience. J'avoue ne pas en sortir emballée.


Le contexte de cette histoire est assez semblable à la précédente. Notre héros Arthur Hastings se repose du front dans la campagne anglaise, chez son ami John Cavendish. Enfin, chez Mrs. Inglethorp, la mère de John, qui vient de se remarier. Et bien sûr, la petite dame est retrouvée empoisonnée. À la strychnine. Heureusement, Hercule Poirot est un ami du héros et passe justement ses vacances dans la même ville. C'est quand même pas de chance pour l'assassin ! Très vite, Scotland Yard s'empare aussi de l'affaire. Et les premières audiences sont menées. Notre héros patauge joyeusement tandis que les pistes se multiplient tout comme les potentiels tueurs. 

Si j'ai apprécié la façon d'enquêter de Poirot, ses phrases émaillées de français et sa stratégie, j'ai trouvé le héros très mou et les intrigues amoureuses sans intérêt. Mais pourquoi vouloir à tout prix adjoindre des histoires d'amour qui n'ont rien à voir avec l'enquête et n'apportent que de la gnangnantitude au bouquin ? Agatha, heureusement qu'il y a Poirot parce que le reste n'est que déception.



vendredi 3 juin 2016

The Moving finger

J'ai toujours un doute à propos des Agatha Christie. Je ne sais plus lesquels j'ai déjà lus et ceux qu'il me reste à lire. J'ai un doute sur celui-ci que je trouve assez peu mémorable. En français, c'est La Plume empoisonnée. Un titre qui me parle plus que sa version anglaise. 

Un frère et une sœur viennent de s'installer dans la petite communauté de Lymstock. Jerry doit se mettre au vert pour récupérer suite à de graves blessures. Il s'est crashé en avion. Mais pour ce qui est de la tranquillité, Jerry et Joanna ont mal choisi. Tout le monde commence à recevoir des lettres anonymes. Celles-ci content des histoires de coucheries, qui jamais ne touchent juste. Mais qui font bien parler les habitants de Lymstock... Et puis, Mrs. Symmington est retrouvée morte, empoisonnée, avec un mot d'adieu. Suicide ou assassinat ? Tout le monde penche pour la première hypothèse jusqu'à ce qu'une jeune servante disparaisse aussi. La police s'intéresse alors à l'affaire et recherche l'auteur des lettres anonymes, en compagnie de notre héros, Jerry. Pour lui, le leitmotiv est "Il n'y a pas de fumée sans feu"... Comprenne qui pourra ! À la toute fin, Mrs. Marple fait son apparition pour dénouer cette histoire. 



Un roman sympa mais qui ne m'a pas tenue en haleine. On est plus confronté dans ce livre à une analyse sociale et une galerie de caractères qu'à une enquête avec un enjeu véritable sur la résolution de l'affaire et la découverte du criminel. Et les histoires d'amour annexes m'ont parues rapides et niaises. Bref, pour moi, ce n'est pas Agatha à son meilleur niveau.



jeudi 4 juin 2015

Le crime de l'Orient Express

Depuis ma visite de l'exposition "Il était une fois l'Orient Express" à l'Institut du monde arabe, cette question me tourmentait : avais-je ou non lu le roman éponyme d'Agatha Christie ? Si c'était le cas, je n'en avais aucun souvenir. Pourtant, j'en ai lu des polars anglais : J'ai passé les premières années de mon collège à dévorer les milles polars des éditions du masque de la bibliothèque parentale. Il faut croire que celui-ci n'y était pas. Car je peux vous l'assurer, je n'avais pas lu ce titre.

ombrelle
Je vous campe le décor. Hercule Poirot revient d'une expédition à Alep et emprunte le Taurus Express puis l'Orient Express pour regagner Londres en urgence. C'est l'hiver et le train est étonnamment plein. La seconde nuit de voyage, un crime est commis. Le voyageur le plus déplaisant est assassiné tandis que le train est bloqué par la neige au milieu de nulle part. Poirot va alors mener l'enquête à huis clos, interrogeant successivement tous les voyageurs. Hélas, l'écheveau est terriblement embrouillé et il faudra toute la perspicacité du détective pour le démêler !

Ce qui est très plaisant dans ce roman policier, ce sont les personnages : la psychologie et la sagacité d'Hercule Poirot, sa façon de mener les interrogatoires et d'amener les suspects à dévoiler leur nature ; la lourdeur de Mr Bouc, directeur de la compagnie ; le snobisme de la princesse... et bien sûr, le comportement de chacun, très lié à son origine géographique (vive les clichés). Tout n'est pas toujours très fin mais le tableau d'ensemble est agréable. Le déroulé est plutôt très classique, il s'agit essentiellement d'un enchaînement d'interrogatoires suivi de la démonstration finale de l'enquêteur. Mais il est amusant de suivre l'accumulation des preuves, les schémas du détective, ses doutes... Enfin, j'ai aimé le style très british de ce polar, son léger humour, ses remarques piquantes. J'ai souvenir que ceux où intervenait Mrs Marple étaient encore plus british, non ? Quant au dénouement ? Il m'a estomaquée. J'ai eu un peu de mal à y croire. Mais c'est plutôt bien joué, Agatha !

Et c'est bien sûr ma première lecture pour ce mois anglais !