Tome 2 de la série Quand les dieux buvaient de Catherine Dufour, ce livre m'a moins plu que le précédent.
Après la fin du monde (voir volume précédent), les êtres magiques ont disparu. Sauf quelques fées par ci, par là (bois de Boulogne entre autres). Et Bille Guette, que l'on croyait anéanti, revient dans un nouvel univers, qui lui correspond cette fois tout à fait, internet. Il a pris possession de Will Door (Windows). Pour comprendre le passage du rien à internet, l'histoire est assez longue. Disons qu'avec le développement de l'électricité et du télégraphe, les spectres ont trouvé refuge dans ce moyen de communication plutôt que d'errer sur terre. Mais qu'ils ne se gênent pas pour revenir faire un petit coucou et manipuler les vivants quand ils en ont besoin. On apprend également dans ce roman que la mort est bretonne (la mienne est italienne) et fille du père Noël, lequel s'appelle Prosper.
L'auteur joue ici sur les noms et sur les langages. On croise pas mal de langage informatique (tout à fait obscur pour moi) dont je ne suis pas toujours certaine de comprendre le rôle et l'humour.
Les personnages principaux sont des spectres numérisés, des fées court vêtues, une humaine qui se noie dans les jeux de rôle... et quelques grand méchants. Franchement too much pour être sympa.
La suite est là
Après la fin du monde (voir volume précédent), les êtres magiques ont disparu. Sauf quelques fées par ci, par là (bois de Boulogne entre autres). Et Bille Guette, que l'on croyait anéanti, revient dans un nouvel univers, qui lui correspond cette fois tout à fait, internet. Il a pris possession de Will Door (Windows). Pour comprendre le passage du rien à internet, l'histoire est assez longue. Disons qu'avec le développement de l'électricité et du télégraphe, les spectres ont trouvé refuge dans ce moyen de communication plutôt que d'errer sur terre. Mais qu'ils ne se gênent pas pour revenir faire un petit coucou et manipuler les vivants quand ils en ont besoin. On apprend également dans ce roman que la mort est bretonne (la mienne est italienne) et fille du père Noël, lequel s'appelle Prosper.
L'auteur joue ici sur les noms et sur les langages. On croise pas mal de langage informatique (tout à fait obscur pour moi) dont je ne suis pas toujours certaine de comprendre le rôle et l'humour.
Les personnages principaux sont des spectres numérisés, des fées court vêtues, une humaine qui se noie dans les jeux de rôle... et quelques grand méchants. Franchement too much pour être sympa.
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