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mercredi 18 novembre 2020

Quand sort la recluse

 Un petit Vargas, rien de tel pour passer un bon moment lecture ! Un petit polar avec Adamsberg aux commandes, devant résoudre pas moins de trois affaires dans ce titre. Pour les amis de Danglard par contre, ce n'est pas le meilleur opus puisqu'il n'est pas très actif cette fois. Mais Retancourt, Voisenet, Veyrenc et Froissy passent sur le devant de la scène. 


Rappelé d'Islande pour résoudre une affaire de meurtre - ce qu'il fait en deux temps trois mouvements, Adamsberg s'intéresse à une araignée qui aurait tué des vieux messieurs. La recluse n'est habituellement pas mortelle, a-t-elle muté ? Ou s'agit-il de meurtres ? Tirant des petits fils, Adamsberg et son équipe vont remonter le temps, cherchant des liens entre les hommes morts et découvrir que l'araignée est moins anodine qu'elle n'y parait et plus polysémique. Plongeant dans l'histoire personnelle des membres de la brigade, cette enquête à rebondissements n'est pas de tout repos. 


Roman policier ou d'atmosphère, c'est plutôt pour les personnages et leur humour que je lis Vargas. L'affaire en elle-même, intéressante, est surtout un moyen de mieux connaitre le commissaire. Et comme souvent, on en profite pour faire des petits détours par l'histoire, qui sont bien agréables !

lundi 1 octobre 2018

Un lieu incertain

Un petit Vargas comme on les aime, avec un Adamsberg et un Danglard en grande forme. 

Tout commence dans la perfide Albion, où des pieds coupés patientent devant le cimetière de Highgate. Un lieu peu recommandable, vous le savez bien. Puis se poursuit en France avec un bonhomme complétement écrabouillé et dispersé en menus morceaux. A ceci s'ajoutent des histoires de vampires et de fils caché. 
On est parti pour une enquête rock n' roll sur les routes de l'Europe.
Et le lecteur marche, suit Adamsberg dans ces drôles de contrées où l'on poursuit des vampires masticants. Crédible ou pas, que nous importe, la plume et le personnage suffisent ! 


lundi 17 juillet 2017

Les quatre fleuves

J'ai eu la joie de découvrir un Vargas un peu différent de ceux que je connaissais. Ici, il s'agit d'un roman graphique, presque d'une bande dessinée en collaboration avec Edmond Baudoin. 

On reste dans l'univers familier du polar et Adamsberg est au rendez-vous. Il ne ressemble pas du tout au Adamsberg de mon imagination. Danglard non plus. Mais tant pis. Par contre, l'enquête est sympa. Plus courte que d'habitude, certainement à cause du format mais pas moins palpitante ! 

Grégoire et Vincent organisent souvent des vols à la tire et autres magouilles. Mais cette fois-ci, ils s'attaquent à un poisson trop gros pour eux. Dans le sac du vieux qu'ils ont bousculé, il y a pas mal de trucs louches. Astrologie, magie noire et compagnie. Et Vincent se fait descendre. Grégoire tourne un peu trop près de l'immeuble de Vincent, ce n'est pas prudent. Et Adamsberg le repère. Il faut dire que Grégoire ne passe pas inaperçu avec ses rollers et ses cannettes de bière, qu'il ramasse pour son père. Lequel les utilise pour reproduire la fontaine des quatre fleuves du Bernin. Dans son jardin.

Bref, tout le monde est un peu tapé chez Vargas. Surtout les meurtriers. Et celui-là, il est possible que ce ne soit pas un vieux inoffensif mais Le Bélier, tueur en série qui signe ses crimes d'un joli bélier... Bref, ça craint pour Grégoire car Adamsberg a beau sentir les trucs, il n'est toujours pas d'une vivacité qui permette de tout contrer...

Très chouette cette collaboration entre Vargas et Baudoin, une bonne lecture pour se détendre cet été. 

Bernin, 4 fleuves, rome

lundi 14 novembre 2016

Debout les morts

Encore une fois, je découvre un Vargas bien après l'Amoureux. Du coup, je squatte son billet !
Un Fred Vargas, c'est souvent trop peu et l'on aime à y revenir. Après Un peu plus loin sur la droite, j’enchaîne avec ce titre qui a pour héros les trois évangélistes. Saint Marc, Saint Mathieu et Saint Luc sont trois historiens, spécialisés l'un en histoire médiévale, l'autre en préhistoire et le dernier en histoire de la Grande Guerre. Sans le sou, Marc, Mathias et Lucien viennent d’emménager dans une grande baraque avec l'oncle de Marc, ex-policier. Ils font connaissance de leur voisine, la cantatrice Sofia Siméonidis. Cette dernière est inquiète lorsqu'elle découvre dans son jardin un arbre qui n'y était pas la veille. Que cache-t-il ? Les évangélistes creusent. Mais rien. On oublie cette curiosité et chacun se replonge dans ses recherches historiques. Mathias s'intègre un peu plus dans la vie de quartier puisqu'il commence à travailler chez une amie de Sofia, Juliette, qui tient un restaurant. Mais avec la disparition de Sofia, tout bascule et nos trois compères se lancent dans l'enquête... Surtout que la nièce de Sofia vient de débarquer et qu'elle est à la fois très jolie et très suspecte !



Une fois encore, j'ai beaucoup aimé ce polar pour ses personnages insolites et sympathiques. 

.......

Depuis ma découverte de Fred Vargas avec L'armée furieuse, l'envie de lire un autre livre du même auteur m'a titillé plusieurs fois... Eh bien  c'est chose faite, et je dois dire que je n'ai pas été déçu d'y revenir !

L'intrigue de Debout les morts commence de façon fort singulière : Sophia Siméonidis, ex-cantatrice d'opéra qui s'est retirée de la vie publique, se rend compte un beau matin de printemps qu'un arbre de taille adulte est apparu au beau milieu de son jardin du jour au lendemain !
Décontenancée, pas écoutée pour deux sous par son mari, elle demande à ses voisins, trois historiens de l'art sympathiquement fauchés, de creuser sous l'arbre pour voir ce qu'il peut bien cacher.

Les recherches sont pourtant infructueuses. Quelques semaines passent, la vie suit paisiblement son cours... jusqu'à ce que Sophia disparaisse subitement, alors même que sa nièce devait débarquer chez elle, venue de province. Ses voisins, qui hébergent également un ex-flic, décident de se lancer sur ses traces - à cause de l'arbre qui continue de les intriguer, mais aussi à cause de la jolie nièce en proie au désarroi ! 
Mais qui pourrait bien en vouloir à Sophia ? Un admirateur déçu ? Un membre de sa famille, pressé de toucher une part d'héritage, sa nièce qui a l'air pourtant si innocente ?

Drôle, bien écrit et fourmillant de rebondissements dans son dénouement, ce livre de Vargas m'a fait passer un très bon moment. J'ai trouvé les personnages attachants, même si l'auteur a parfois tendance à verser dans la caricature.

vendredi 11 novembre 2016

Un peu plus loin sur la droite

Un petit Fred Vargas de temps à autre, rien de tel pour se reposer entre deux tomes de Proust. Avec cette enquête, pas d'Adamsberg présent. Notre héros est Louis Kehlweiler. Ex-policier, il a des indics dans tous les coins de Paris. Notre enquête débute avec un os humain trouvé dans une crotte de chien. Mais pas de corps auquel raccrocher l'os... Louis poste son archiviste, Marc Vandoolser, pour repérer les chiens qui passent et leurs maîtres. Marc est historien, médiéviste, et peine à joindre les deux bouts. Il n'hésite donc pas à rejoindre quelque peu le XXe siècle pour subvenir à ses besoins. 

L'os et les archives mènent Louis jusqu'en Bretagne, dans une petite ville où vit justement un de ses grands amours. La suite de l'enquête continue avec Marc mais aussi Mathias, préhistorien.

Un roman plein d'humour et de sensibilité, comme on les apprécie chez Vargas, qui m'a introduit aux fameux "évangélistes", ces historiens qui s'adonnent aux joies de l'enquête policière pour se changer des recherches historiques. 


samedi 5 mars 2016

L'armée furieuse

C'est fou comme un petit Vargas peut vous extraire du quotidien, vous offrir un espace de délassement. C'est assez propre à la lecture en général mais, étant plutôt plongée dans des essais pour le boulot, je perdais de vue ce plaisir de la lecture, qui fait filer l'heure jusqu'aux dernières pages de l'ouvrage et vous laisse un peu sonné, triste et heureux.

Est-ce Adamsberg et ses fantaisies ? Danglard et son érudition ? Violette et son efficacité ? Toute cette équipe qui ne tourne pas rond au milieu de meurtriers pas plus sains ? Ou le plaisir de voir mêler des éléments historiques et légendaires comme cette armée furieuse (que vous pouvez croiser plus vivante encore dans Faërie) avec la réalité tristoune d'une petite ville normande ? Toujours est-il que je sors enchantée de ces retrouvailles avec Vargas. Je notais l'an dernier une lassitude à dévorer de façon trop rapprochée ses ouvrages. Je ne vais donc pas enchainer tout de suite avec un autre titre, même si ce n'est pas l'envie qui manque.


Quant à l'histoire, l'Amoureux vous en donne un bon avant goût auquel je n'ai rien à ajouter !

*****

Grand amateur d'Agatha Christie dans ma jeunesse, c'est avec grand plaisir que j'ai replongé dans l'univers policier, en découvrant par la même occasion Fred Vargas.

Son héros, le commissaire Adamsberg, n'en jette pas autant qu'Hercule Poirot ou Sherlock Holmes. Lui est juste flic, basé à Paris et commandant une brigade criminelle. Pas forcément méthodique, ni académiquement génial, il n'en reste pas moins un enquêteur hors pair, capable de déceler un crime passionnel au sein d'un couple d'octogénaires, là où tout le monde avait vu une simple mort naturelle.

Si Adamsberg est haut en couleurs, sa brigade l'est encore plus : son bras droit, méthodique et à la mémoire inépuisable, a tout de même un sérieux problème avec la bouteille. Les divers lieutenants ou brigadiers constituant son unité sont eux tour à tour narcoleptique, paniqué à la vue du sang ou inadapté socialement... Et pourtant tous géniaux à leur manière.

DR
Dans cet opus de Vargas, alors qu'Adamsberg est confronté à une affaire hautement politique de meurtre de magnat de l'industrie, il reçoit la visite d'une dame habitant une petite ville de Normandie, qui lui raconte une histoire des plus étranges. Selon elle, des meutres seraient en préparation dans le village d'Ordebec, où sa fille aurait vu l'armée furieuse, une sorte de compagnie fantomatique médiévale qui se montre tous les siècles environ, et exécute dans l'ombre les habitants qui ont commis des crimes impunis.


Bien entendu, contre toute attente, Admasberg réussit à se faire saisir de l'enquête alors que celle de Paris piétine et que sa place est en danger. Confronté à une population qui croit dur comme fer à l'armée furieuse, et avec une disparition sur les bras, la situation semble bien problématique...

Fred Vargas m'a réellement bluffé dans la façon dont elle réussit à tisser la trame policière, à la lisière du fantastique, en nous faisant par là même occasion découvrir des personnages tout à fait inhabituels. Le dénouement est digne de celui d'un Agatha Christie : autrement dit, on ne s'ennuie pas ! 

mercredi 2 mars 2016

Les jeux de l'amour et de la mort

Rien de tel qu'un petit Fred Vargas pour faire une pause entre deux classiques ! Dévoré en une après-midi, il m'a plus intéressé pour le monde dans lequel il se déroulait, celui de l'art, que pour le caractère des personnages. Ici, point d'Adamsberg ou d'autre inspecteur attachant. A la rigueur, Thomas, héros et un peu victime, est le personnage le plus fouillé... Mais pas au point de le rendre intéressant.

Le plot ? Thomas Soler, jeune artiste en quête de reconnaissance croise Gaylor, le "peintre chéri du XXe siècle". Il se met en tête de le rencontrer coûte que coûte. Cette occasion lui est fournie par Saldon, un américain qui a fréquenté Gaylor dans sa jeunesse et compte lui extorquer quelques billets. Munis d'une invitation pour la soirée annuelle du peintre, les deux amis de fraîche date se séparent. Thomas patiente, incapable de s'adresser à sa vedette. Il décide donc de monter dans le bureau du peintre pour lui laisser quelques photos de ses œuvres... Et c'est là qu'il tombe sur un cadavre.
Avec ses amis, notamment Jeremy, il va mener sa petite enquête, alors que le commissaire Galtier piétine. Et comme d'hab, c'est le genre d'initiative qu'il vaut mieux ne pas prendre quand on a manqué de peu un assassin. 

Sympathique sans être fou, ce premier Vargas m'a plu pour son intrigue qui est finalement très liée à la carrière d'artiste de Gaylor, à la capacité d'observation d'un peintre comme Thomas ou à la force déductive de Jérémy. 

mardi 3 février 2015

L'homme à l'envers

Nous continuons notre exploration de l'univers de Vargas, piochant allègrement dans les bibliothèques parentales. Et peut-être devrions nous ralentir notre consommation. Car après cette lecture, j'interroge l'Amoureux : "-As-tu aimé ?" "..." 

Nous avons eu l'impression d'une grande similitude entre cet opus et les précédents. Est-ce nous qui nous lassons ? Adamsberg qui dénoue les mêmes fils ? L'ambiance "Vargas" toujours un peu semblable ? En tous cas, c'est ce qui me fatigue souvent rapidement dans les polars d'une même série : j'aime retrouver mon enquêteur jusqu'au moment où il m'embête. Je vais donc abandonner Vargas quelques temps... pour certainement mieux la retrouver plus tard.

Cette histoire, c'est celle de moutons décimés par des loups dans les Alpes. Des loups ? Plutôt un seul gros loup. Mais ce loup ne semble pas frapper au hasard. Et si c'était un homme ? Un loup-garou ? Voilà la curieuse bête que Camille et ses nouveaux amis décident de traquer. Adamsberg va bien entendu rentrer en jeu pour aiguiller les recherches. 

Pas beaucoup plus à dire si ce n'est qu'on trouve toujours l'humour et le style, un peu rêveur, d'Adamsberg dans ce récit. C'est donc toujours agréable à lire, je suis simplement lassée. 

trefles

vendredi 5 décembre 2014

Pars vite et reviens tard

Ce polar de Fred Vargas patiente dans ma PAL depuis des années... Pour l'en faire sortir, quoi de mieux qu'une lecture commune ? Accompagnée de l'Amoureux, d'Enna, de Riz-deux-ZzZ et de Sevanna, j'ai décidé que c'était le bon moment pour le lire.


On retrouve dans cet opus le commissaire Adamsberg et son second, Danglard, à Paris, pour une curieuse enquête. A priori, rien de très dangereux : un type qui dessine des 4 à l'envers sur des portes (un streetartist pénible ?) et des messages étranges et malsains en vieux français ou en latin. Et pourtant, lorsque Decambrais comprend de quoi il est question dans ces extraits, il entrevoit la panique que ces actions, à première vue inoffensives, peuvent déclencher. Et si le fléau se propageait à nouveau ?

Les polars de Vargas, ce ne sont pas que des polars avec des grands méchants et des policiers malins. Ce sont aussi des personnages très particuliers : Adamsberg qui résout les enquêtes en marchant dans la ville, Joss, le breton converti en crieur public, Hervé qui fait de la dentelle et possède la bibliothèque d'un érudit, Marc, médiéviste et femme de ménage. Bref, une galerie attachante, voire amusante. Vargas, c'est du polar prenant, avec des méchants tordus mais aussi beaucoup d'humour et de liens avec l'histoire. Bref, si vous ne la lisez pas encore, il faut s'y mettre !

Le petit mot de l'Amoureux :
Fan tardif de Vargas (depuis Noël dernier pour être précis), j'ai été complètement happé par cet opus ! On découvre petit à petit Adamsberg et les personnages de la brigade (la course poursuite avec Retancourt est tout bonnement hilarante) et les personnages secondaires de l'enquête sont tout aussi hauts en couleur. Vargas nous livre ici un polar très bien ficelé, original, malin, pas trop stressant et surtout diablement accrocheur !

Le billet de Savenna




mardi 27 août 2013

Sous les vents de Neptune

Voilà très longtemps que je n'avais pas lu Fred Vargas ! Pourtant j'avais beaucoup aimé ma première lecture. Il a donc fallu qu'on me prête cet exemplaire pour que je me décide à renouer avec Adamsberg. 

Dans cet opus, le commissaire enquête sur un sujet qui le touche de très près. En effet, un démon de son passé resurgit. Un homme qui tue d'un coup de trident. Et qui échelonne ses crimes sur toute une vie. Pourtant, une cause naturelle aurait dû l'empêcher de poursuivre ses crimes, la mort. 
Alors, est-ce un disciple du criminel ? Ou Adamsberg qui perd la tête ? 

Voici une enquête qui nous entraîne jusqu'au Quebec, qui permet de retrouver des disparus de trente ans et implique une vieille bourgeoise devenue hacker. 
Des personnages hauts en couleurs, sur fond de mah-jongg, accompagnent Adamsberg dans une quête peu commune, qui plonge dans ses origines... 


Un livre que j'ai dévoré, auquel je reproche quelques rapidités (le personnage disparu depuis trente ans retrouvé en trois heures), mais qui dans le fond m'a tout a fait plu. J'ai adoré Adamsberg, Danglard mais aussi Retancourt, Josette et toute la clique, tous plus attachants les uns que les autres. Sans oublier le sort de la cathédrale de Strasbourg ! 


samedi 21 juin 2008

L'homme aux cercles bleus

Thème du prochain club des théières : figures géométriques.

Entre celles qui trouveront un titre du même style que mon Vargas, celles qui liront du Le Carré et celles qui décréteront que tout livre peut faire l'affaire, joli parallélépipède, j'imagine déjà un joli débat. Mais je n'y serai pas... Voilà donc, un peu avant le jour J, ce que j'ai à raconter sur ce livre.

Le commissaire Adamsberg vient d'arriver à Paris, son équipe tente de s'habituer à cet homme au visage si particulier, qui griffonne tout le temps, semble rêver en permanence et est précédé par une réputation plus qu'enviable. Et puis il y a Mathilde, une femme étrange, qui suit les gens (et les accueille volontiers chez elle), prend des notes en permanence, Charles, l'aveugle qui aide les gens à traverser, Clémence, qui dépouille les petites annonces à la recherche d'un homme sérieux. Dans le journal, le commissaire découpe des articles sur un drôle d'artiste : Adamsberg attire l'attention de Danglard, un de ses coéquipiers, sur un individu qui trace d'étranges cercles bleus autour d'objets quotidiens, anodins. Adamsberg présume (à raison) qu'un jour ils y trouveront un corps...
Un policier que j'ai beaucoup aimé, que je n'ai pas trouvé très policier finalement mais dont l'ambiance cotonneuse m'a beaucoup plu. Je crois que je m'aventurerai plus en avant dans les enquêtes d'Adamsberg car ce policier est tout à fait fascinant !